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5 - Que se cache derrière les nouvelles traductions et les révisions de la Bible

De ce qui a été dit jusqu'à présent, il est clair que la condamnation au TR aie été rendue par des juges partisans sur la base de preuves dignes de peu de foi. Il est donc nécessaire que les croyants prennent fermement position. Il en va de la sainteté et de la pureté de la parole de Dieu. Pouvons-nous tolérer encore qu'une science humaine, la critique textuelle, manipule à volonté le texte inspiré ?

Un principe fondamental de la critique textuelle est que les manuscrits du NT doivent être examinés de la même façon que tout document ancien. Westcott et Hort le mettent comme point préliminaire dans leur édition critique du NT: «Les principes de la critique textuelle sont valables pour tous les textes anciens ... En traitant avec le Nouveau Testament, il n'est pas nécessaire ni se justifie un principe de traitement spécial." [1]

 

Le NT est considéré comme les manuscrits des œuvres d'Homère ou de Platon. Ce qui était dans le texte original peut être établi seulement par les arguments de certains experts. Or le croyant ne peut jamais accepter un tel générique principe scientifique. Le NT n'est pas la parole de l'homme, mais a été inspiré par Dieu, mot pour mot, et Dieu a promis de veiller sur lui, ainsi que sur l'ensemble de la Bible. Tel est le fondement de la foi «transmis une fois pour toutes aux saints» (Jude 3).

Une étude qui nie l'essence de l'écriture comme une révélation divine surnaturelle ne peut jamais être acceptée par les croyants; elle ne peut même pas mettre en évidence aucune vérité, étant elle-même fondée sur un mensonge. L'homme serait juge de la révélation divine?

Ce faux principe devrait amener tout croyant fidèle à la Bible à rejeter les conclusions de la critique du texte, car elles ne pourront jamais être justes.

Le point de départ de la critique rationaliste était le rejet du TR. Ce que la foi considérait comme parole de Dieu, faisant autorité, a été systématiquement mis en doute par la question diabolique: «Dieu a-t-il réellement dit?». Avec des arguments subtils certains passages de l'écriture ont été définis comme ajouts ultérieurs et manipulations humaines. Les rationalistes ont accroché leur panneau de «inauthentique» sur des paroles de l'écriture qui, à travers les âges, les croyants avaient retenues comme un chères et précieuses, et ils les ont enlevés de la Bible.

 

Les efforts de la critique visent au fond à la dégradation de la Bible. Kurt et Barbara Aland ont écrit ouvertement: «Tous les efforts pour se débarrasser de la domination du Textus Receptus sont d’autant plus appréciables quand on se souvient que nous vivions à une époque où l'on croyait posséder dans le Nouveau Testament la parole infaillible, inspirée de Dieu, même dans les plus petits détails ... ».[2]

 

A l’autorité de la Bible on a opposé dans un premier temps le doute. Une fois démoli le TR, on a mis en avant l’autorité humaine des experts. Les résultats furent le doute et l'insécurité parmi les croyants et, par la suite, l’appauvrissement et l’altération de la parole biblique. Bien qu’on sache de l'histoire de l'église que justement les quatre premiers siècles ont été marqués par des luttes de doctrine atroces de la part des hérétiques qui ne s'arrêtèrent même pas devant les écrits du NT, ce fait a été négligé par eux. Westcott et Hort considèrent "qu'il n'y a aucune preuve que le texte a été modifié à des fins dogmatiques." [3]  De même, Kurt et B. Aland reconnaissent qu'en Egypte «le gnosticisme aie joué un rôle important», mais que «justement dans cette province s’est établie la relativement fidèle tradition de texte normal.» [4]

L’incrédule critique textuelle, tout comme elle ferme les yeux sur le caractère divin de la révélation, elle est aussi aveugle devant les attaques de satan qui, en utilisant des copistes influencés par les hérésies, a voulu défigurer et mutiler la parole de Dieu.

 

Pour les critiques, le mss. les plus anciens sont les meilleurs. Après tout, le principe derrière cela est la prédilection tacite et peut-être inconsciente pour la ligne de transmission alexandrine, pour Origène et le gnosticisme, pour la christologie des hérétiques. Hort était un admirateur de Darwin et du catholique Newman; avec Westcott il avait participé à des expériences parapsychologiques et spiritualistes. Tous les deux sympathisaient pour l'Eglise Romaine. Les Aland définissent quelques lettres de Paul «deutero-paulines», c'est à dire apocryphes.

 

D’autres principes méthodologiques de la critique textuelle sont également discutables du point de vue spirituel. Par exemple l'argument selon lequel la variante la plus obscure, incompréhensible, est celle d'origine. Les passages qui sont compatibles avec d’autres et qui sont clairs et compréhensibles peuvent s'expliquer par des interventions ultérieures de finition. On insinue donc que la parole de Dieu aurait été à l’origine contradictoire et obscure. Ici aussi se manifeste le fondement de l'incrédulité contre l’inspiration. En faisant cela on ignore le fait que pour les vrais croyants chaque mot du NT était et est sacré et intouchable et, par conséquent, ils n'auraient jamais osé ajouter ou enlever quelque chose (voir Ap 22:18-19 !).

 

Tout aussi arbitraire est la règle selon laquelle, en cas de doute, le texte le plus court est l'original. De cette façon, la préférence est donnée aux textes alexandrins avec leurs mutilations. Où l'écriture présente deux ou trois témoignages de la même déclaration, en conformité avec le principe exprimé dans 2 Corinthiens 13:1, les critiques spirituellement aveugles disent que le deuxième et le troisième témoin ont été ajoutés par la suite pour «harmoniser» l’écrit. Lorsque le texte est clair et complet et celui alexandrin est raccourci et difficile à comprendre, ils expliquent que les mots qui clarifient la signification doivent avoir été ajouté plus tard. Il serait beaucoup plus logique de supposer que si ces mots se trouvent dans 99 témoins et manquent dans un ou deux, c'est dans ceux-ci qu’ils ont été mis de côté.

 

Mais tout cela n'est pas surprenant quand on sait que le principe de la science humaine est de nier l'existence et les actions de Dieu et d’exclure les fondements de la foi de ses processus en vue de se présenter comme science. Les plus hauts représentants de la critique textuelle sont la plupart des non-croyants qui rejettent l'inspiration et le caractère de la révélation divine des écritures.

 

Les théologiens chrétiens, pour leur part, doivent se soumettre à ce «diktat» s’ils ne veulent pas être discrédités, passer pour arriérés, fanatiques, personnes qui travaillant sans critères scientifiques, pas dignes d'être pris en compte.

A la critique du texte ont participés des croyants comme, par exemple, Bengel, Tregelles, Darby et Kelly mais cela ne diminue en rien les réserves quant au résultat. Nous devons considérer que ces hommes ont agi avec les meilleures intentions, en absolue bonne foi mais même des croyants spirituellement matures peuvent être égarés et être victimes de tromperie. Il convient de noter, toutefois, que John Nelson Darby, dans sa traduction de la Bible, n’a pas transposé les variantes critiques qui touchaient à la divinité de Jésus et à son œuvre rédemptrice.

 

Le mal dans l'Eglise d'aujourd'hui est que la plupart des pasteurs et des enseignants, des théologiens et des évangélistes, de bonne foi, font confiance aux acquisitions de la critique rationaliste et supposent que la traduction la plus fidèle de la Bible soit celle basée sur «les manuscrits les plus anciens».

 

 

Un comité œcuménique d'experts

 

Le fondement qui lie les éditions modernes de la Bible est établi par un petit groupe de savants bibliques internationaux, y compris un représentant de haut rang de l'Église Romaine. Ce groupe d'experts, élus par la libérale Alliance Mondiale des Sociétés Bibliques, décide ce que des millions de croyants doivent lire dans leur Bible. Avec la nouvelle édition du NA, nous avons affaire à un texte oecuménique! En 1968, entre le Vatican et les «United Bible Societies » furent décidées des lignes directrices, qui prévoient l'usage exclusif du NA pour les traductions du NT et pour l’étude de la Bible dans les écoles!

 

Lorsque ce haut comité œcuménique d'experts supprime un verset, il est retiré de toutes les éditions ultérieures de la Bible à l'échelle mondiale. Lorsque certains mots sont changés, les Bibles de tous les continents subiront ces changements. Les croyants qui décident d'utiliser une Bible de la nouvelle traduction révisée doivent faire confiance aux convictions de personnes pour lesquelles Dieu dit qu'ils sont «obscurcis d’intellect et ne peuvent pas connaître les choses de l'Esprit de Dieu, car c’est spirituellement qu'on les juge» (cf. Ep 4:18, 1Co 2:9-16).

 

L'objectif déclaré de la critique rationaliste était de démolir le TR comme texte standard du NT afin de mettre à sa place un autre texte obtenu avec une «méthode scientifique». Pendant ce temps, ce nouveau texte standard doit être constamment mis à jour avec de nouvelles théories et des critères subjectifs, donc parfois en contradiction avec l'édition précédente. Jusqu'à présent, il n’a été produit aucun un texte critique qui soit sûr et définitif.

Dans la pensée scientifique tout est relatif et il fait partie de la pensée rationaliste de tout remettre en question. Une édition scientifique du texte est toujours le résultat provisoire des nouvelles acquisitions. Le texte est soumis à la discussion, à l'analyse critique, et demain il peut être différent de ce qu'il est aujourd'hui.

 

Kurt et Barbara Aland disent clairement dans la préface de la 26e édition de la NA: "Bien sûr, le nouveau texte n'est pas quelque chose de statique. Tous les membres du comité de rédaction conviennent qu'il est publié expérimentalement et qu’il est ouvert à tous les changements si vous présentez des arguments convaincants". Un texte provisoire de ce genre, cependant, est donné comme une norme contraignante pour la plupart des Bibles modernes!

 

Les critiques du texte sont toujours prêts à introduire de nouvelles variantes. Si demain un mec quelconque trouvera dans la poussière du désert égyptien un vieux manuscrit avec les évangiles falsifiés par gnostiques, il se peut que quelques années plus tard, le lecteur d’une Bible modernes devra abandonner des mots présents dans une précédente Bible ou les trouvera parmi les parenthèses carrés.

Ce n'est pas une hypothèse farfelue quand on pense à la quantité de doutes soulevés par les mss. de la secte de Qumran. Certaines traductions de la Bible contiennent déjà des changements dans l'Ancien Testament, grâce aux mss. de ce petit groupe hérétique du judaïsme. La critique textuelle moderne transforme la parole éternelle de Dieu contenue dans les écritures en quelque chose de fluctuant, relatif, soumis aux «progrès de la science».

Le croyant qui utilise une Bible révisée sur les soi-disant «manuscrits plus anciens» ne peut jamais être sûr que ce qu’il lit est ou n'est pas exactement le message de Dieu. Sans le savoir il reçoit la parole sous une forme abrégée, déformé par la tradition alexandrine, et ou ont été retirés de nombreux témoignages que Dieu avait inspirés. Nous allons donner plus loin un aperçu des pertes que le lecteur d'une Bible de la critique est forcé à subir.

 

Certains lecteurs objecteront que, fondamentalement, il n'y a rien de grave: les passages supprimés ne compromettent pas les doctrines de l'écriture et, si on supprime un verset, il y en a d’autres similaires. Mais il faut se rappeler que la Parole de Dieu est un ensemble harmonieux dans lequel chaque mot a sa propre signification. La suppression ou la falsification d'un mot cause des dommages à l'ensemble. Et dans les Bibles révisés les mots supprimés ou déformé sont des milliers!

 

Ne négligeons pas le principe biblique des deux ou trois témoins que l'on retrouve souvent dans la révélation du Nouveau Testament (cf. 2 Co 13:1 : "chaque mot doit être confirmé par la bouche de deux ou de trois témoins"). Souvent les répétitions servent à renforcer et mettre en valeur un concept ou une déclaration importante. Il n'est pas question de répétition inutile mais d’éléments indispensables à la révélation, comme elle nous a été donnée par l'Esprit de Dieu.

Quand la critique omet en Colossiens 1:14 "par son sang"  il peut être objecté: Mais dans Ephésiens 1:7 nous avons la même déclaration! Donc rien de grave! Nous répondons: Attendez une minute, quelque chose de grave est arrivé! La critique textuelle nous a volé ce précieux témoignage de la deuxième déclaration. Si nous nous sommes assis et il y a un tel qui nous scie l'un des pieds de la chaise, nous ne disons pas: ne faisons rien, ils restent les trois autres pieds! Si lors d'un procès deux des trois témoins ont été tués ou ont été contraints de retirer leur témoignage, cela ne serait pas considéré comme une chose sans importance.

Quand un critique du texte, dans son aveuglement spirituel, enlève la déclaration de Matthieu 18:11 «Car le Fils de l'homme est venu sauver ce qui était perdu» ou le mets entre parenthèses comme si c’était un passage douteux, les croyants ne doivent pas accepter cela passivement mais doivent dénoncer ce qui a été fait: il a été enlevé le deuxième témoignage à Luc 19:10 et, avec Luc 9:56, on a volés un troisième témoignage, appauvrissant ce témoignage si important.

 

 

Paroles inspirées qui disparaissent et réapparaissent

 

L'évangile de Marc commençait comme ça dans la Bible de Luther et dans toutes celles de la Réforme: «Le commencement de l'Évangile de Jésus-Christ, le Fils de Dieu» mais dans certaines nouvelles Bibles révisée le statut de Fils de Dieu attribué à Jésus-Christ par le Saint-Esprit au début du plus ancien des évangiles a été rétrogradé et mis entre parenthèses. Le lecteur devrait douter qu'il est inspiré parce qu'il "manque dans les manuscrits les plus anciens"?

Si on consulte les différentes traductions de la Bible en allemand, on peut remarquer comme l'expression «Fils de Dieu», avait disparu des éditions de années 50 et 60 pour réapparaître dans celles des années 70 et 80. Comment expliquer cela?

Lors de la 26ème édition du NA ont été révisées à la sauvette une partie des omissions les plus arbitraires de la 25ème édition, et donc a été réadmis l'expression «le Fils de Dieu». Cependant dans certaines versions cette expression reste encore confinée entre parenthèses: les experts de ces versions, sans doute, n'étaient pas au courant du changement survenu après coup.

C'est juste un exemple de la «fluidité» et de la relativité du texte de base des Bibles modernes. Beaucoup d'entre elles reportent en fin de page des notes qui avertissent qu’un verset donné manque dans les plus anciens mss. Certaines Bibles, comme nous l'avons vu, utilisent les parenthèses pour indiquer des passages ou des expressions qui ne figurent pas dans les manuscrits les plus anciens (selon l'explication des signes donnée dans l'introduction de ces Bibles). Avec ces notes ou parenthèses on introduit systématiquement le doute sur la fiabilité de la transmission du texte original. Quand en Matthieu 17:21 je lis les paroles de Jésus: «Ce genre de démon ne sort que par la prière et le jeûne», mais que je vois le verset dans parenthèses ou je lis qu'il ne se trouve pas dans le plus ancien mss. (qui se réduisent au Vaticanus, au Sinaïtique et à seulement 3 autres mss.), je vais me demander: Mais s’agit-il vraiment des paroles de Jésus? Je dois les prendre au sérieux comme les versets précédents?

Il en va de même, par exemple, en Marc 16:19-20. Le TILC (traduction interconfessionnelle en langage courant) parle même de nombreux manuscrits anciens qui termineraient l’évangile de Marc au verset 8 du chapitre 16 et pas au verset 20.

De cette façon il est laissé à la discrétion du lecteur s'il veut retenir inspiré ou pas le passage final de l'évangile de Marc: "Est-ce que Dieu a vraiment dit?" est le principe diabolique de la critique textuelle qui apparaît.

 

Les versions actuelles montrent encore plus ouvertement leur tendance de la critique. Voici, par exemple, la note pour Jean 7:53-8:11 dans la TILC: «Le passage est absent des mss. les plus anciens et dans les anciennes traductions syriaques, latine, etc. D’autres mss. le mettent à la fin de l'évangile de Jean. D'autres le placent après Luc 21:38, avant l'histoire de la Passion».

Non seulement les précieuses paroles d'inspiration sont présentés comme une réflexion après coup et donc pas inspirés, mais on répand aussi le scepticisme quant à la transmission fidèle du texte du NT.

 

Il convient également de noter que les notes sont formulées de manière voilée, trompeuse, afin que le lecteur ne remarque pas les décisions arbitraires de la critique. On souligne toujours la valeur de mss. les qualifiant "les meilleurs, les plus anciens, le plus fiables..." quand en fait ils se réduisent à l'habituel Sinaiticus, au Vaticanus et à quelques autres alexandrins. Combien serait plus honnête d'ajouter "... mais se trouve dans beaucoup d'autres manuscrits provenant de plusieurs autres endroits, y compris les codex A, W et D du cinquième siècle".

Il est vrai que les diverses omissions ou altérations de paroles ou de versets n’affectent aucune vérité fondamentale du Nouveau Testament: satan n’a pas été en mesure d’aller jusque-là. Pourtant, le témoignage biblique de nombreuses doctrines importantes est bien démuni. Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne l'enseignement de l'écriture sur Jésus-Christ, sa filiation divine et la rédemption accomplie par Lui.

Le travail de la critique textuelle a favorisé des erreurs comme l’universalisme, l'œcuménisme et l'arianisme actuel, celui des Témoins de Jéhovah.

La chose la plus déplorable est que ces Bibles sont recommandées par de fidèles serviteurs de Dieu, biblistes, prédicateurs, et cela avec les meilleures intentions et de toute bonne foi. Ne connaissant pas l’arrière de la scène, ils ont confiance dans un texte présenté comme plus fidèle à l'original alors, qu'en fait, il contredit leurs convictions religieuses.

 

 

 


[1] Cité par Pickering, Identity, pg.32.

[2] Aland/Aland, Der Text…, pg.21.

[3] Cité par Pickering, Identity, pg.32.

[4] Aland/Aland, Der Text…, pg.69.

 

Commentaires

J'ai lu avec intérêt cet article et je vous en remercie. Je voudrais humblement dire que l'auteur en s'offusquant de la critique fait sur le CR, utilise des arguments qui peuvent lui être opposés et renforce le point de vue de ceux qui depuis longtemps ont définitivement basculé dans le camps qui a l'intime conviction que TOUT cela n'est que MANIPULATION.

La question que je pose est: QUELLE EST LA "BONNE" BIBLE?

Par Ferdinand Orphé SONE (non vérifié)

Je ne crois pas qu’il y a une Bible meilleure que les autres car chacune a ses points forts et on peut rechercher la fidélité au texte d’origine ou un langage plus simple. Dans tous les cas nous avons aujourd’hui des instruments excellents qui nous permettent d’approfondir et de comparer et nous devons les utiliser.

Je crois que, si Dieu a permis qu’il y ait des différences entre les manuscrits qui nous sont parvenus et s’il a permis que l’ennemi falsifie certaines choses c’est justement pour nous enseigner que la vérité n’est pas dans un livre mais qu’il faut la rechercher dans une relation avec le Seigneur. Il nous a laissé son Esprit pour nous conduire dans toute la vérité, pas une Bible « parfaite » ou « sans erreur ».

Nous devons dénoncer les erreurs, inviter à la vigilance mais cela doit être surtout dans le but que le lecteur fasse attention et approfondisse ce qu’il lit en demandant l’onction du Saint-Esprit et en analysant ce que les autres semblent avoir compris dans l’amour et le respect.

Par garisma

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