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La soif de Jésus

Avoir soif signifie désirer quelque chose qui nous est nécessaire ou plus précisément quelque chose qui nous est vital. Comme l'eau est nécessaire pour la vie, Jésus doit être l’élément le plus essentiel et nécessaire pour notre vie spirituelle: sans lui nous sommes condamnés à la mort.

La soif est un besoin vital et quotidien: on ne peut pas boire une seule fois par semaine 10-15 litres… non, il faut boire tous les jours.

C’est pareil avec Jésus: il doit être notre objectif quotidien et nous avons besoin de Lui pour avancer dans notre vie de tous les jours. Nous devons être continuellement dans la recherche de Jésus, en vouloir plus.

Psaumes 63:2 O Dieu! Tu es mon Dieu, je te cherche; mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans eau.

Jean 6:35 Jésus leur dit: Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.

 

La soif de Jésus commence par passer des moments réguliers avec Lui, d’abord par la lecture de la Bible, la méditation et la prière mais ensuite il faut aller aussi plus loin, chercher à entendre sa voix, l’écouter et lui obéir. Concrètement cela se présente comment?

 

Le wknd passé j’étais à Lutry pour un séminaire sur l’évangélisation dans la rue par la guérison des malades. Le matin nous avions la formation théorique puis nous devions aller dans la rue aborder les gens. Nous étions environs 200 qui sont allés à Lausanne.

Le samedi matin il y a eu des baptêmes, environs 30 baptisés et ensuite de nouveau dans la rue. Une jeune fille s’est fait baptiser et son amie a voulu la conduire ensuite dans une librairie pour acheter une Bible. Le long du chemin elles ont croisé deux dames dont une boitait. Les deux amies ne se sont pas arrêtées pour prier quand d’un coup une d’entre elles a entendu une voix qui lui disait: «Stop, retourne». Elle est vite retournée en arrière et a abordé cette dame qui boitait. Elle a demandé si elle pouvait prier pour elle. La dame lui a dit oui mais elle était sous le choc. Ensuite elle lui a dit: «J’avais mal et juste avant j’ai dit ‘’Il n’y a personne là-haut dans le ciel? – Puis vous êtes venue’’»

Donc cette fille a pu lui parler de Jésus et ensemble elles ont été à la librairie pour acheter pas une mais deux Bibles, une aussi pour cette dame qui avant boitait. Je ne sais pas si elle a été guérie mais c’est un témoignage qui a touché beaucoup de monde: voici ce qui se passe quand on est à l’écoute de Dieu et on Lui obéi.

 

Quand on veut plus de Dieu, quand on a soif, on ne peut pas seulement être dans l’attitude de celui qui reçoit mais on doit être aussi dans l’attitude de celui qui écoute et qui obéit.

Avoir soif de Jésus n’est pas simplement prendre ce dont nous avons besoin pour vivre mais c’est aussi devenir une source d’eau vive tout comme Jésus s'est sacrifié pour nous.

Jean 7:37-38 …Jésus…  s'écria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Ecriture.

 

Comment un fleuve peut sortir de nous? Un fleuve ne commence pas grand: il est petit, presque invisible et peu à peu il devient grand et impétueux.

Jésus veut nous bénir et nous donner tout le nécessaire, même financier, mais ce n’est pas quelque chose qui nous tombe dessus: on va recevoir un petit peu et c’est à nous de le redonner plus loin, généreusement, ensuite on va recevoir plus et on va donner encore plus, plus loin…

Chaque semence porte son fruit: donc si on donne de l’argent on va recevoir de l’argent, si on donne de la guérison on va recevoir de la guérison.

Dieu nous bénis mais il veut qu’on soit un canal qui reçoit et donne plus loin. Tout comme dans la vie quand on boit on doit ensuite aussi évacuer, quand on respire on doit inspirer et expirer, pareillement avec les bénédictions de Dieu on doit donner ce qu’on a reçu afin d’en recevoir plus.

 

Alors comment être cette source d’eau vive qui nous comble et qui bénis les autres? Il faut donner ce qu’on reçoit, même si au début cela semble peu, afin de bénir les autres et c’est ainsi qu’on va recevoir plus.

 

Que vous cœurs soient remplis de la soif de Jésus, la soif de le servir plus, d’être un canal pour lui et toucher votre entourage.

 

Remercions Jésus pour ce qu’il nous donne chaque jour. Qu’on aie constamment cette soif de le chercher et de le servir. Qu’on puisse faire fructifier ce qu’il nous donne là où il le veut!

 

Témoignage résumé de la mission dime «autre, non croyant»

 

Suite à la conviction que donner la dîme était la volonté de Dieu, j’ai compris que Dieu ne voulait que je la donne forcement dans mon église mais là où Il me l’indiquerait.

 

Sur la base de divers épisodes bibliques, j’ai décidé de prier et d’ensuite utiliser le sort pour déterminer le montant, la personne et la façon de lui offrir ma dime.

Le premier mois j’ai donc pris le montant qui, arrondi, correspondait a ma dime, j’ai prié pour savoir a qui le donner et il est sorti de donner un montant de 300.00 francs supérieur à ma dime à «autre, non croyant» et «en mains propres».

 

Quelques jours après, un lundi, en me rendant au travail en voiture je réfléchissais a qui donner ma dime quand, au bord de la route, vers un passage piétons en direction de la gare de La Chaux-de-Fonds, j’ai aperçu une dame qui attendais au feu rouge pour traverser, en direction de la gare. J’ai eu la conviction que c’était a elle que je devais remettre l’argent mais en attendant j’avais avancé avec la voiture et il n’y avait aucune place pour m’arrêter ni pour faire demi-tour. J’avais aussi quelques des doutes si c’était vraiment elle la bonne personne, si c’était elle que le Seigneur m’indiquait et j’avais aussi la crainte d’arriver en retard au travail. J’ai donc continué ma route mais plus j’avançais, plus j’avais la conviction que c’était elle la bonne personne. Or je l’avais à peine aperçue et il m’aurait été difficile de la décrire.

Toute la journée et les jours suivants j’ai réfléchi et prié pour savoir comment retrouver cette personne.

 

Trois jours après, le jeudi, en me rendant en voiture au travail et après que j’avais prié pour avoir une deuxième chance, je me préparais déjà a m’arrêter un peu avant le passage piétons ou j’avais vu la dame que je cherchais car là il y avait des places de parc. Qu’elle n’a été ma surprise quand, environs 500 mètres avant l’endroit où je l’avais vue la première fois, j’ai vu au loin une dame qui marchait sur la place Espacité et j’ai eu à nouveau la conviction que c’étais elle. Mais pareil, pas d’endroit ou m’arrêter ni ou faire demi-tour.

Tout le matin j’ai été tiraillé par la pensée que j’avais raté ma deuxième chance! Vu qu’elle se dirigeait aussi ce matin vers la gare, j’ai donc décidé d’aller la chercher à nouveau dans les environs de cet endroit en pensant qu’elle travaillait dans cette zone.

 

Donc à midi, pendant ma pause, je suis allé vers la gare, j’ai parqué ma voiture et, après avoir prié, je suis parti en recherche de cette personne. J’ai cherché partout, à la gare, dans le centre, mais je ne l’ai pas trouvée. Le Seigneur me guidait dans un bar, mais je ne l’ai pas fait et ensuite j’ai eu des regrets.

 

Le vendredi, au travail, je pensais toujours à cela et je cherchais quelle était la volonté de Dieu. J’ai écouté de la musique sur YouTube et certaines paroles m’ont interpellé: ca parlait de désespoir, de mort. Me souvenant qu’une fois le verset du jour m’avait parlé quand je cherchais une réponse, je suis allé voire sur internet quel était ce versait. Le verset ne me parlait pas mais l’image sur lequel il était m’a fait penser à un hôpital.

 

Je me suis mis à réfléchir, me demandant si la personne a qui j’aurais du donner de l’argent n’allait pas faire un acte de désespoir a cause de problèmes financiers et indirectement à cause de moi qui ne lui avais pas encore remis ce que je devais lui donner de la part de Dieu. A ce moment j’ai entendu au loin la sirène d’une ambulance sonner. Cette fois c’était clair, il fallait que j’aille à l’hôpital a la recherche de cette personne si ce n’était pas déjà trop tard. Mais je ne savais pas comment faire: je ne connaissais pas le nom de la personne et je ne pouvais même pas me présenter à l’hôpital comme quelqu’un de la famille. Une pensée m’a traversé l’esprit: une porte allait s’ouvrir et je n’avais pas à m’inquiéter. Je voulais faire la volonté de Dieu et j’ai décidé d’aller faire un tour à l’hôpital à la fin de ma journée travail.

 

Je me suis donc rendu à l’hôpital de La Chaux-de-Fonds: c’était la première fois que j’y allais, je ne le connaissais pas et après avoir prié je suis rentré. Je suis allé à la réception et j’ai demandé s’il y avait eu une admission dans l’après-midi d’une dame suite à un acte de désespoir. La réceptionniste m’a demandé le nom de la personne que je cherchais. J’ai dit que je ne le connaissais pas. Elle m’a demandé si j’étais de la famille, sur quoi j’ai répondu non. Elle m’a dit alors qu’elle ne pouvait pas m’aider et que je ne devais pas m’adresser à elle mais que j’aurais dû aller vers l’admission des urgences, en face. Elle a rajouté que de toute façon sans connaître le nom on n’aurait pas pu m’aider et que c’était donc inutile d’y aller.

Pendant ce temps elle jetait des regards courroucés, une dame attendait derrière moi et je l’ai donc remerciée et je me suis dirigé vers la zone d’admission. Je me suis assis dans la salle d’attente en me cachant un peu derrière les plantes pour ne pas être vu depuis la réception.

J’ai constaté qu’il y avait deux portes fermées avec chacune une sonnette. Je ne savais pas comment faire, je suis resté là un moment, je priais et je me suis souvenu qu’une porte allait s’ouvrir. Puis une dame est arrivée, elle a sonné à une de ces portes, on lui a ouvert et elle est entrée. J’ai attendu et je me suis dit que, quand la dame aurait fini, j’allais entrer pour demander ce que je cherchais.

Quand la dame est sortie je me suis levé, l’infirmière l’a accompagnée dehors, je me suis approché et j’étais la debout à attendre car elles parlaient ensemble quand, tout à coup l’autre porte derrière moi s’est ouverte et une infirmière m’a dit: «Venez, monsieur, entrez». Tout surpris je suis entré, je me suis assis et j’ai dit que je cherchais une dame dans la cinquantaine qui aurait été admise aujourd’hui, dans l’après-midi, mais dont je ne connaissais pas le nom. Sans me faire d’autres questions, en toute simplicité, cette infirmière m’as dit qu’elle allait chercher et elle a cherché dans son ordinateur les admissions mais elle m’a dit qu’il y avait rien qui correspondait à ma demande, sauf un homme. J’ai répondu que je cherchais une dame. Elle m’a alors conseillé de monter un étage et d’aller demander directement aux urgences.

J’ai remercié, j’ai pris l’ascenseur et je suis monté. Arrivé en haut je me suis trouvé devant un guichet fermé et une infirmière qui aidait une dame sur une chaise roulante. Je suis resté un petit moment la, puis elle est revenue et elle m’a demandé ce que je désirais. Je lui ai dit que je cherchais une personne qui aurait été admise cette après-midi, elle m’a demandé son nom, je lui ai dit que je ne le connaissais pas! Elle a eu l’air étonnée et m’a demandé alors qu’est-ce que je lui voulais. Je lui ai dit que je devais lui donner de l’argent. Cela lui a semblé bizarre, elle m’a demandé pourquoi et je lui ai alors expliqué que Dieu m’avait dis de lui donner un somme d’argent, même sans la connaître, et que je craignais que, dans le désespoir de n’avoir pas reçu cet argent a temps, elle aie fait un acte de désespoir.

L’infirmière m’a dit d’attendre et après quelques temps une autre collègue est arrivée à qui j’ai expliqué a nouveau mon problème. Elle m’a écouté puis m’a dit qu’il n’y avait eu aucune admission cet après-midi. J’ai remerciée et je me suis dit que je n’avais plus besoin d’être à l’hôpital. En même temps j’étais content car cette fois j’avais été plus courageux et j’avais pu témoigner.

 

Je suis donc retourné dans le centre ville et je suis retourné vers le bar ou j’avais hésité à entrer le matin même mais, cette fois, je n’ai eu aucune conviction d’y entrer. Comme dans l’après-midi j’avais pensé à un autre bar, je me suis dit qu’il fallait que j’aille y getter un coup d’œil. En marchant sur le trottoir, tout un coup, j’ai vu une dame qui allait vers un bus. Je l’ai regardée et j’ai eu cette conviction que c’était elle la personne que cherchais. Il m’a semblé qu’elle avait un bandage sur un poignet mais, avant que je puisse faire quelque chose, les portes du bus se sont fermées et le bus était parti. J’ai regardé ou il allait et j’ai vu affiché «Hôpital»! Le bus a pris un route réservée uniquement aux bus, il n’y avait pas d’arrêts plus loin et de toute façon j’étais a pied. Je suis vite retourné au parking prendre ma voiture et, tout en sachant que je n’allais pas prendre le même chemin que le bus et que la personne aurait pu descendre en chemin, je n’avais pas d’autre choix que de retourner à l’hôpital.

 

J’y suis resté 2 heures, divers choses se sont passées mais je n’ai pas vu la dame que je cherchais.

 

Presque deux semaines ont passé, sans voir cette dame ni faire de recherches spéciales jusqu’à ce mercredi matin quand, me rendant au travail, je l’ai de nouveau aperçue ou je l’avais vue la première fois. Il pleuvait et elle attendait au passage piéton, en direction de la gare et sous un parapluie de couleur violette. J’ai été surpris de la voir à nouveau depuis tout ce temps et je ne me suis pas arrêté mais j’ai eu la conviction que c’était elle que je cherchais.

 

Le lendemain je l’ai de nouveau aperçue vers ce passage piéton. J’ai vite tourné dans une ruelle plus loin, je suis revenu en arrière, j’ai parqué et je suis allé à la gare. J’ai cherché partout, sur les quais, dans les trains arrêtés, vers les arrêts de bus mais je ne l’ai plus vue. Comme le temps passait, je suis retourné à ma voiture pour me rendre à mon travail et je suis arrivé légèrement en retard.

 

Le lendemain matin, le vendredi, je me suis parqué vers ce passage piéton et j’ai attendu. J’étais un peu en avance et, comme il pleuvait aussi ce jour-là, je suis resté dans la voiture. J’ai attendu un long moment puis j’ai vu passer une dame qui ressemblait, je l’ai regardée un moment car il j’hésitais mais je n’ai pas eu la conviction que c’était elle. Pendant que mon regard était fixé sur elle j’ai vu la dame que je cherchais: elle avait déjà traversé la route et c’aurait fait tard pour moi d’aller attendre à nouveau que le feu devienne vert, de traverser la route et la rejoindre. Je craignais surtout d’arriver en retard au travail car déjà le jour avant j’étais arrivé en retard. J’ai donc préféré regarder ou elle allait. J’ai vu qu’elle n’allait pas à la gare mais qu’elle se rendait dans le bureau de poste, vers les cases postales puis qu’elle partait en direction du bar ou j’avais été l’autre fois.

J’ai donc décidé que je devais prendre congé le lundi matin pour avoir le temps nécessaire et enfin pouvoir lui remettre l’argent.

 

Le lundi matin j’étais prêt, j’avais pris congé et j’avais le temps devant moi pour attendre. Il ne pleuvait pas mais il faisait froid. Je suis resté pendant une demi-heure dehors à faire les 100 pas sur ce trottoir près du feu rouge et en face de la poste. Mais personne: ce matin elle était en retard. Vers 8h, quand j’allais me décider à partir et faire un tour vers le bar, je l’ai vue qui venait en sens inverse: elle avait pris un autre chemin. Je me suis approché d’elle et je lui ai dit: «Bonjour Madame, cela fait quelques jours que je vous recherche, j’ai quelque chose à vous donner». Elle ne s’est pas arrêtée mais elle m’a dit «Je n’ai besoin de rien». Un peu surpris je lui ai répondu: «Je dois vous donner de l’argent, attendez» mais elle m’a dit en continuant à marcher: «Ce n’est pas vrai, vous mentez, laissez-moi tranquille». Elle est entrée dans la poste et je l’ai suivie de loin mais j’ai attendu dans un coin et j’ai réfléchi: il y avait pas mal de monde et je ne voulais pas l’aborder à nouveau de peur de faire un scandale. J’ai donc pris l’argent dans la main pour lui montrer que je ne mentais pas. Quand elle est sortie je l’ai suivie et, pendant qu’elle attendait le feu vert je me suis approché, je lui ai montré l’argent pour lui prouver que je ne mentais pas et là elle m’a écouté. On a traversé la route ensemble, elle m’a demandé pourquoi je devais lui donner de l’argent, je lui ai dit que je le faisais en obéissance a une demande de Dieu. Elle m’a alors demandé si je connaissais une certaine personne et si c’était elle qui m’envoyait. Je lui ai dit non, que c’était ma dime et elle m’a raconté qu’elle avait des problèmes d’argents, que le soir avant elle avait parlé avec des personnes d’une église, qu’elle avait très mal dormi la nuit, qu’elle était en retard car c’était les vacances des enfants. On a causé un peu, elle connaissait des chrétiens, elle allait à la librairie chrétienne de la ville, elle avait des problèmes de santé et elle m’a dit qu’elle ne s’attendait vraiment pas que quelqu’un lui donne quelque chose comme ça. Elle m’a encore demandé si j’étais bien sur que c’était pour elle et oui, j'en étais sûr, j’avais cette conviction que c’était bien elle la personne que Dieu avait choisie. Elle n’était peut-être pas croyante mais elle fréquentait d’autres personnes qui lui parlaient de Jésus et j’étais certain que ce don allait la toucher et changer sa vie.

 

Par la suite j’ai revu cette dame un soir pendant qu’elle était sur le bord de la route et qu’elle parlait avec une autre personne. Elle n’avait plus ce regard triste et cela m’as fait très plaisir. J’ai prié pour elle, je ne sais pas actuellement ce qu’elle est devenue et comment elle a utilisé son don mais ce n’est pas a moi de le savoir: si Dieu me demande de semer, je me dois de le faire et Lui va se charger du reste.

 

Alors la soif de Jésus est sortir de sa zone de confort, c'est tout faire pour accomplir la conviction qu'il nous a mise dans le cœur, c'est être prêt à tout pour suivre et servir Jésus, c'est allers vers l'inconnu, c'est lui faire confiance. Seulement ainsi on peut vraiment être un canal qui reçoit et qui donne plus loin. Ce ne sera pas toujours facile mais quand on a vraiment soif, on est prêt à tout pour être ce canal de vie…

 

La promesse de Jésus est de rassasier notre soif:

Apocalypse 21:6 Et il me dit: C'est fait! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement.

Apocalypse 22:17 Et l'Esprit et l'épouse disent: Viens. Et que celui qui entend dise: Viens. Et que celui qui a soif vienne; que celui qui veut, prenne de l'eau de la vie, gratuitement.

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